La défaite de mai 1940 : Claude Simon, Marc Bloch et l’écriture du désastre

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9 octobre 2020

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Anthony Cheal Pugh, « La défaite de mai 1940 : Claude Simon, Marc Bloch et l’écriture du désastre », Cahiers Claude Simon, ID : 10.4000/ccs.2128


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La Route des Flandres, en soulignant les difficultés de tout récit subjectif à être véridique, sans l’appui d’autres témoignages et uniquement à partir de ses souvenirs, interroge la façon dont nous imaginons et essayons de comprendre le passé. Le roman de Simon fait ainsi écho à un doute de la discipline historique qui bouleverse alors le champ de l’historiographie, et en particulier à deux ouvrages fondateurs de Marc Bloch, L’étrange défaite et Apologie pour l’histoire ou Métier d’historien.

La Route des Flandres, in underlining how difficult it is for any subjective account to be truthful without the support of other testimonies and solely based on memories, raises questions about how we imagine and try to understand the past. Simon’s novel thus echoes doubts in the discipline of history which were at the time rocking historiography to its foundations, and echoes in particular two seminal works by Marc Bloch, Strange Defeat and The Historian’s Craft.

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