13 janvier 2022
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Sylvain Prudhomme, « En relisant Les Géorgiques », Cahiers Claude Simon, ID : 10.4000/ccs.3615
Je n’avais pas relu (je veux dire vraiment relu, du début à la fin) Les Géorgiques depuis mes années d’étudiant. Je les rouvrais souvent, mais presque toujours pour retourner aux mêmes passages fétiches : la toute fin, avec la bouleversante dernière lettre de l’ancêtre révolutionnaire affaibli, près de mourir à présent, et triste, plein de reproches pour la vieille intendante devenue la destinataire de toute son amertume. Lettre de rage contre la fatalité de devoir bientôt mourir plus encore ...