Kabuki’s Early Ventures onto Western Stages (1900‑1930):Tsutsui Tokujirō in the footsteps of Kawakami and Hanako

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16 juillet 2019

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Jean‑Jacques Tschudin, « Kabuki’s Early Ventures onto Western Stages (1900‑1930):Tsutsui Tokujirō in the footsteps of Kawakami and Hanako », Cipango - French Journal of Japanese Studies, ID : 10.4000/cjs.1168


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Résumé En Fr

The discovery of Japanese theatre by Western theatrical buffs was very gradual, starting with the impressions of the first travellers and foreign residents who landed in Japan in the 1860‑1870’s, and slowly progressing with the essays and translations of the pioneers of Japanese studies. But, on the other hand, the opportunities to watch the real thing were extremely few: from the early Meiji up to the 1950’s, only four companies tried to present on foreign stages productions claiming, rightly or wrongly, to belong to the art of kabuki. After a brief sketch of Kawakami, Hanako and Sadanji’s European ventures, this essay examines in detail the long journey of Tsutsui Tokujirō’s company (January 1930-April 1931), which triumphs in practicaly all the Western capitals. Neglected by the Japanese historians, Tsutsui’s work had nonetheless a profound influence on the European stage directors with productions relatively faithfull to the spirit of genuine kabuki.

Les amateurs occidentaux ne découvrent que progressivement le théâtre japonais, d’abord par les témoignages des premiers voyageurs et des résidents étrangers qui arrivent au Japon dans les années 1860‑1870, puis, peu à peu, par les travaux et traductions des pionniers des études japonaises. En revanche, les occasions d’en voir réellement restent rarissimes : de l’ouverture de Meiji aux années 1950, seules quatre troupes s’aventurent sur les scènes étrangères avec des spectacles se réclamant, à plus ou moins juste titre, du kabuki. Après un bref rappel des productions de Kawakami, de Hanako et de Sadanji, cet article se concentre sur la longue (janvier 1930-avril 1931) tournée de Tsutsui Tokujirō qui rencontra un grand succès dans pratiquement toutes les capitales européennes. Négligé par les historiens japonais, le travail de Tsutsui exerça pourtant une influence considérable sur les metteurs en scène européens avec des spectacles relativement proches de l’esprit du kabuki authentique.

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