Ni fait, ni à faire : Chambord, un château à choix multiples

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23 décembre 2017

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Simon Bryant et al., « Ni fait, ni à faire : Chambord, un château à choix multiples », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles, ID : 10.4000/crcv.14356


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Cette communication est l’occasion de présenter le panorama des recherches menées depuis une quinzaine d’années sur le monument et son environnement proche - dépouillements d’archives, études sur le tufeau et les dégradations de la pierre, relevés photogrammétriques, modélisations en 3D de l’édifice - et de parler des interventions archéologiques qui se sont enchaînées depuis 1996 (fouilles programmées, diagnostics archéologiques, fouilles préventives). Ces recherches ont permis d’aborder de façon très concrète les origines mouvementées du chantier Renaissance, ainsi que la vie du château au XVIIIe siècle. La question de l’environnement de l’édifice a pris progressivement de l’importance et a généré des recherches spécifiques sur le bourg, le domaine, la forêt, et tout dernièrement sur les jardins. Nous livrons ici un premier aperçu des informations issues de la fouille des parterres nord réalisée durant l’été 2016 dans le cadre d’un projet de restauration des jardins. Les données sont en cours de traitement et semblent particulièrement prometteuses pour la connaissance de l’évolution du site et de sa mise en valeur progressive depuis le XVIe siècle. Elles ont aussi confirmé l’existence du grand jardin d’agrément de style régulier, créé dans les années 1730 devant les façades nord et est du château, et apporté des éléments de connaissance très précis quant aux dispositions paysagères originelles de ce premier jardin.

This paper is an opportunity to present the panorama of research carried out on the monument and its immediate surrounds over the last fifteen years –archival studies, studies of the tuffeau stone and its degradation, photogrammetric surveys and 3D modeling of the building – and to discuss the archaeological investigations. Since 1996 these latter have included programmed excavations, archaeological diagnoses and preventative excavations. This research has given new, concrete insight into the rather turbulent origins of the Renaissance building project, as well as castle life in the eighteenth century. The issue of the building’s environment has gradually gained importance, generating research projects aimed specifically at the village, the grounds, the surrounding forests and, lately, the gardens. We can offer an early glimpse of the results of the excavations carried out during the summer of 2016 on the north and east parterres within the framework of the restoration of the gardens. Post-excavation work is still underway but the collected data looks particularly promising for knowledge of the site’s evolution and its development since the sixteenth century. It has also confirmed the existence of a large ornamental garden, in a regular style, created in the 1730s in front of the castle’s north and east facades, providing extremely precise information on the original landscaping of this first garden.

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