La « petite renaissance » d’Aymon de Montfalcon. Le goût de l’évêque et des milieux canoniaux pour l’italie et les monuments

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4 décembre 2018

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Grégoire Oguey, « La « petite renaissance » d’Aymon de Montfalcon. Le goût de l’évêque et des milieux canoniaux pour l’italie et les monuments », Études de lettres, ID : 10.4000/edl.1353


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En 1494, Aymon de Montfalcon s’émerveille devant les ruines d’Aventicum. Ce goût précoce pour l’Antiquité, il l’a cultivé bien avant de devenir évêque. Ses ambassades à Rome lui ont assurément fait voir les vestiges de nombreux monuments. Beaucoup de chanoines de la cathédrale entretiennent également des liens avec la capitale de la Chrétienté, dont l’attrait se mesure tout au long de l’épiscopat d’Aymon de Montfalcon. Ces contacts personnels ont favorisé le passage au nord des Alpes des idées et des goûts de l’humanisme, un rapport rénové au passé et de nouvelles lettres dans les inscriptions : les capitales romaines. Apposées sur des monuments gothiques, mêlées à d’autres graphies, elles se trouvent au carrefour d’une forme de syncrétisme caractéristique de l’épiscopat d’Aymon de Montfalcon.

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