«Une prison gardée à vue»? Le théâtre et son public sous l’œil de la police (Genève, 1780-1830)

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17 mai 2021

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Marco Cicchini, « «Une prison gardée à vue»? Le théâtre et son public sous l’œil de la police (Genève, 1780-1830) », Études de lettres, ID : 10.4000/edl.3553


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Dès les années 1780 à Genève, comme ailleurs en Europe, la construction d’une salle de théâtre permanente renouvelle les formes de sociabilité urbaine, le théâtre réunissant régulièrement un public hétérogène de plusieurs centaines de personnes. Cabales, tumultes, manifestations bruyantes émaillent parfois les représentations. Entre 1780 et 1830, par-delà les césures politiques, comment évoluent les formes de régulation sociale du théâtre, quelles sont les modalités de l’adhésion ou du rejet des spectacles? À l’appui de sources policières, judiciaires et administratives, cette contribution montre une progressive transformation des styles de la police des spectacles qui oscillent entre la discipline des conduites, celle des esprits et l’autocontrainte.

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