La lecture subjective est-elle soluble dans l’enseignement de la littérature ?

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26 septembre 2014

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Gérard Langlade, « La lecture subjective est-elle soluble dans l’enseignement de la littérature ? », Études de lettres, ID : 10.4000/edl.608


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Profondément marqué par une approche distante et formelle des œuvres, l’enseignement littéraire ignore pour l’essentiel les réactions affectives des sujets lecteurs. Elles donnent pourtant du sens à la lecture et participent à la formation de lecteurs sensibles et créatifs. Certes, la lecture subjective, qui relève de l’intime et sollicite des personnalités singulières, entre difficilement dans l’espace scolaire. Les relations métaleptiques entre le monde des œuvres et celui des lecteurs, les expériences de lecture qui font événements et, surtout, les inévitables reconfigurations des œuvres sous l’effet des imaginaires, des désirs et des interrogations des lecteurs n’en offrent pas moins de riches perspectives à la didactique de la lecture littéraire.

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