8 décembre 2019
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Alain Delissen, « Ch’oe Namsŏn et la syllabe magique de l’histoire coréenne », Écrire l’histoire, ID : 10.4000/elh.2135
On me pardonnera d’inaugurer cette lecture d’un texte « coréen » de la fin des années 1920 par un titre imprononçable, surtraduit, en réalité indécidable. Qu’on me pardonne aussi, pour en faire comprendre le sens, d’insister dans l’exotisme et de faire un pas en arrière, en 1908, avec le premier vers libre de la toute première poésie, libre, coréenne et moderne, d’un jeune homme libre de dix-huit ans : « 텨……ㄹ 썩, 텨……ㄹ 썩, 텩, 쏴……아 / t’yŏ……l ssŏk, t’yŏ……l ssŏk, t’yŏk, ssowa……a ». Avec ces onomato...