À propos de carte(s)… Propos sur l’histoire d’une carte : Le planisphère d’Alberto Cantino

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15 mars 2021

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Cécile Bertin-Elisabeth, « À propos de carte(s)… Propos sur l’histoire d’une carte : Le planisphère d’Alberto Cantino », Études caribéennes, ID : 10.4000/etudescaribeennes.13314


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« Même quand une carte n’est pas tout le plan, comme c’était le cas dans L’Île au trésor, ce sera une mine de suggestions », affirmait Robert Louis Stevenson. La polysémie du mot « carte » confirme cette richesse qui dépasse le cadre de la géographie et de l’iconicité en rejoignant divers enjeux de pouvoir. La carte est en effet langage ; elle est soumise à diverses interprétations. On s’intéressera de ce fait aux liens entre littérature et cartographie, entre Europe et Amérique, du Moyen Âge jusqu’à nos jours, à partir de l’analyse du roman de Gérard Vindt : Le planisphère d’Alberto Cantino- Lisbonne 1502.

Even if a map is not complete, as it was the case in Treasure Island, it will be a mine of suggestions, stated Robert Louis Stevenson. The polysemia of the word ‘map’ confirms this richness which transcends geography and iconicity by connecting with issues of power. Indeed a map is language; it is a text subject to various interpretations. Therefore one will scrutinize the links between literature and cartography, between Europe and America from the Middle Ages to this day, through an analysis of Gérard Vindt’s novel: Le planisphère d’Alberto Cantino-Lisbonne 1502.

« Incluso cuando en un mapa no cabe todo el plan como en el caso de La isla del tesoro, será una fuente de sugerencias » apuntaba Robert Louis Stevenson. La polisemia de las palabras « mapa »/« carta » refuerza esta riqueza que sobrepasa el marco geográfico e icónico al reunirse con varios retos de poder. Un mapa es entonces lenguaje, texto sometido a varias interpretaciones. Se tratará por lo tanto de interesarse por los lazos entre literatura y cartografía, entre Europa y América, de la edad media hasta hoy, a partir del análisis de la novela de Gerard Vindt: El planisferio de Alberto Cantino – Lisboa 1502.

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