La dédicace du Cymbalum mundi de Bonaventure Des Périers (?) (1537). Une défense facétieuse du français.

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14 avril 2022

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Guillaume Berthon et al., « La dédicace du Cymbalum mundi de Bonaventure Des Périers (?) (1537). Une défense facétieuse du français. », Corpus Eve, ID : 10.4000/eve.1181


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La dédicace fictive du Cymbalum mundi, dont les circonstances de publication sont des plus mystérieuses, peut être lue comme une défense précoce du français. Présentant l’œuvre comme une traduction, le prétendu Thomas du Clevier affiche, avant Étienne Dolet, le choix de la langue vulgaire contre le latin. L’argument de la traduction, probablement inventé, permet d’introduire l’idée d’une adaptation de la langue écrite à l’époque contemporaine. Le style facétieux de l’épître dédicatoire illustre le principe rhétorique du naturel que l’auteur appelle implicitement de ses vœux. Le titre de l’œuvre confirme, malgré son caractère énigmatique, la coloration morale et spirituelle de la réflexion linguistique.

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