Fooling the eye: trompe l’oeil porcelain in High Qing China

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14 juin 2019

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Chih-en Chen, « Fooling the eye: trompe l’oeil porcelain in High Qing China », Les Cahiers de Framespa, ID : 10.4000/framespa.6246


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Porcelain imitation of other materials, or so-called ‘trompe l'oeil’ porcelain, popular from the late Yongzheng to the Qianlong period, has been regarded as an aesthetic representative of Chinese emperors as well as an iconography of court power. Several studies have been conducted to understand the connection between porcelain and emperors’ connoisseurship; however, much of that research has focused on the physical characteristics of porcelain and corresponding imageries, namely the painted antiquity cataloging album. Such object-focused methodology overlooks the concept underlying the works, which is inherently related to their very existence, namely their origin. Pierson characterizes this traditional approach as ‘outward focused’, and suggests a new methodology to overcome its shortcomings. This framework is focused on ‘of the period’ literatures, to define the understanding of certain aesthetics. Therefore, in this essay, numerous Chinese classics are reviewed from Warring States period Lilun to Qing dynasty Hong Lou Meng. Following the terminology investigation over Chinese classic literatures, this research proposes some possible rationale behind a considerable number of trompe l'oeil porcelains passed down from the Qing Imperial workshops which seems to be ignored in Huoji dang. Moreover, based on Huoji dang, this essay aims to understand how Qing dynasty emperors and the Imperial workshop’s reception of trompe l'oeil works of art and their iconographic connotations.

L’imitation en porcelaine d’autres matériaux, ou porcelaine dite « en trompe-l’œil », est populaire depuis la fin des années Yongzheng jusqu’à la période Qianlong. Cette esthétique de l’imitation est considérée comme représentative des empereurs chinois et de l’iconographie du pouvoir à la cour. Plusieurs études ont été menées pour comprendre le lien qui existe entre la porcelaine et la culture de « connaisseurs » des empereurs. Cependant, cette recherche s'est souvent concentrée sur les caractéristiques physiques de la porcelaine et sur les images correspondantes, c’est-à-dire l'album de catalogage des antiquités peintes. Une telle méthodologie centrée sur les objets ignore le concept sous-jacent aux œuvres, qui est intrinsèquement lié à leur existence même, à savoir leur origine. S. Pierson caractérise cette approche traditionnelle comme étant « orientée vers l’extérieur » et suggère une nouvelle méthodologie pour remédier à ses lacunes. Ce papier est donc axé sur la littérature de l’époque afin de définir la compréhension de certaines esthétiques. C'est pourquoi, dans cet essai, de nombreux classiques chinois sont passés en revue de la période Lilun à la dynastie Qing Hong Lou Meng. Après une enquête terminologique sur la littérature classique chinoise, cette recherche propose des pistes pour comprendre les raisons d’un grand nombre de porcelaines en trompe-l'œil en provenance des ateliers impériaux Qing, qui semblent être ignorées dans le Huoji dang. En outre, en s’appuyant sur le Huoji dang, cet essai cherche à comprendre la réception d’œuvres en trompe-l’œil par les empereurs de la dynastie Qing et par l’atelier impérial, ainsi que leur charge iconographique.

La imitación de otros materiales en la porcelana, denominada también porcelana “trompe l'oeil”, popular desde fines del período Yongzheng hasta el período Qianlong, ha sido considerada como una expresión estética representativa de los emperadores chinos, así como una iconografía propia del poder de la corte. Se han realizado varios estudios para entender la conexión entre la porcelana y los conocimientos artísticos de los emperadores. Sin embargo, gran parte de la investigación se ha centrado en las características físicas de la porcelana y en las imágenes correspondientes, a saber el álbum de catalogación pintado de la época antigua. Esa metodología centrada en los objetos pasa por alto el concepto inherente a las obras, lo que concierne su propia existencia, es decir su origen. Pierson caracteriza este enfoque tradicional como “orientado hacia afuera” y sugiere una nueva metodología para superar estas limitaciones. El presente estudio se inspira en las literaturas de aquellas épocas para definir la comprensión de ciertas estéticas, por lo cual pasa revista a numerosos clásicos chinos, desde el período de Estados en Guerra Lilun hasta la dinastía Qing Hong Lou Meng. Siguiendo las pautas terminológicas de la investigación sobre las literaturas clásicas chinas, esta investigación propone algunas claves que conciernen un número considerable de cerámicas de trompe l'oeil procedentes de los talleres de Qing Imperial, que parecen ignorarse en Huoji Dang. Basado también en Huoji Dang, este ensayo intenta comprender el papel de los emperadores de la dinastía Qing y del taller imperial en las obras de arte de trompe l'oeil y sus connotaciones iconográficas.

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