Fusiform axes and geochemical analyses: two new avenues of research for the study of Neolithic axes in dolerite

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20 novembre 2018

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Antoine Chancerel et al., « Fusiform axes and geochemical analyses: two new avenues of research for the study of Neolithic axes in dolerite », Gallia Préhistoire, ID : 10.4000/galliap.1073


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Résumé En Fr

This paper reassesses polished spindle-shaped or long axes with round cross-sections, found between the end of the 19th century and the present time, following the discovery of axe fragments in a dated Middle Neolithic II context in Lower Normandy. They are made in dolerites, or other similar rock types from the ancient massif. They are exclusively found in the north-western quarter of France, but are paradoxically concentrated in peri-Armorican sedimentary regions. The plains of Caen and Alençon appear to be over-represented but this is due to the fact that they have been more intensively investigated. Most of the artefacts are working axes and were used, but they also present similarities with jade artefacts and can be considered as symbolic objects. They could be a later offshoot of Bégude-type axes, or to a lesser extent of Danube-type adzes, or a syncretism of both, as both of these types of objects have been recorded in the Armorican Massif.

Parfois signalées depuis la fin du xixe siècle, les haches polies à section ronde, en forme de fuseau ou de boudin, ont été réexaminées après la découverte de fragments en contexte daté sur des sites du Néolithique moyen II de Basse-Normandie. Elles sont façonnées dans des dolérites, voire dans d’autres roches de massif ancien proches d’aspect. Leur répartition est propre au quart nord-ouest de la France et est paradoxalement concentrée dans les régions sédimentaires péri-armoricaines. Le poids des plaines de Caen et d’Alençon paraît ainsi surreprésenté mais les données y ont été davantage recherchées. Si la plupart des pièces ont servi et ressortissent aux haches de travail, plusieurs convergences avec les pièces en jade permettent d’y voir également des objets-signes. Elles pourraient être une déclinaison tardive des haches de type Bégude, voire dans une moindre mesure des herminettes danubiennes, ou un syncrétisme des deux, ces deux familles d’objets étant aujourd’hui attestées sur le Massif armoricain.

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