18 février 2021
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Andrée Lerousseau, « Comme une clarté sur le mur, malgré tout. Relecture de la correspondance de Nelly Sachs et Paul Celan », Germanica, ID : 10.4000/germanica.9338
Linie wielebendiges Haar gezogentodnachtgedunkeltvon dirzu mir. La première strophe du poème par lequel débute la lettre que Nelly Sachs envoie le 11 septembre 1958 à la famille Celan entre en résonnance avec l’eau-forte Présence – Gegenwart que Gisèle Celan-Lestrange lui avait fait parvenir par l’intermédiaire de Lenke Rothmann. Cette « merveilleuse feuille » à laquelle la poétesse fait maintes fois référence, constitue à ses yeux « un havre précieux », et peut-être lit-elle dans cet enchevê...