13 mai 2015
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Elisabetta Villari, « Le regard de Walter Benjamin sur Le Stryge de Charles Meryon: antiquité, modernité, allégorie. », Livraisons d’histoire de l’architecture, ID : 10.4000/lha.259
Pour Benjamin, Méryon devient une source iconographique privilégiée sur le passage de la première à la seconde moitié du XIXe siècle, non seulement par rapport à Baudelaire, mais aussi pour une série de problèmes théoriques : l’allégorie, le rapport entre modernité et Antiquité, la critique du progrès, le rapport des images au texte et du texte dans l’image, les enjeux complexes entre la photographie et la gravure. Benjamin apprend à « regarder » les Eaux-fortes sur Paris à travers Edgar Allan Poe, Charles Baudelaire et Auguste Blanqui : le cas de la première planche, Le Stryge, véritable fantasmagorie du XIXe siècle, est exemplaire.