Gérer la modalité épistémique et le hedging: analyse comparée d'examens écrits en Lettres et Sciences humaines

Fiche du document

Date

2015

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.4000/linx.1641

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/pissn/0246-8743

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/urn/urn:nbn:ch:serval-BIB_91473BA281CB9

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , Copying allowed only for non-profit organizations , https://serval.unil.ch/disclaimer




Citer ce document

Thierry Herman, « Gérer la modalité épistémique et le hedging: analyse comparée d'examens écrits en Lettres et Sciences humaines », Serveur académique Lausannois, ID : 10.4000/linx.1641


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Cet article présente une exploration préliminaire à une recherche portant sur un macro-genre particulier : l’examen écrit de 3e année de Bachelor en lettres et en sciences humaines (l’équivalent de la licence en France). En comparant un corpus de bons examens et d’examens ratés, nous avons cherché à illustrer des différences dans la gestion de la modalité épistémique et du hedging, à savoir « des moyens linguistiques utilisés pour indiquer soit 1) un manque d’engagement complet envers la valeur de vérité exprimée dans la proposition qui l’accompagne soit 2) le désir de ne pas exprimer cet engagement de manière catégorique » (Hyland 1998 : 1). Nous avons tenté de comprendre si des examens jugés insuffisants pratiquent une modalité épistémique très catégorique alors que des travaux jugés excellents font varier plus explicitement les degrés d’engagement par rapport aux propositions énoncées. Il apparaît que ce sont moins les hedges que les boosters et la force de certitude qui marquent une différence entre bons et mauvais examens.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en