1 juillet 2020
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0242-7702
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2425-1941
https://creativecommons.org/licenses/by-nc/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess
Victorine Mataouchek, « Archéologie préventive sur le bâti et Monuments historiques », Les nouvelles de l'archéologie, ID : 10.4000/nda.8051
En dépit des résultats obtenus depuis plus de 20 ans avec l’application de la démarche d’analyse stratigraphique aux vestiges construits, communément appelé « bâti », cette discipline archéologique fait encore l’objet de mises en cause régulières portant sur sa légitimité dans le contexte des monuments historiques (Mh) ou sur celle de ses prescripteurs, les services régionaux de l’archéologie (Sra). En toile de fond, les interactions entre les différents services patrimoniaux des directions régionales des affaires culturelles (Drac) jouent un rôle déterminant. C’est dans ce contexte, et alors que l’on doit aux Nouvelles de l’archéologie le dossier fondateur de 1993, qu’il a semblé important de revenir aux sources du débat et de démontrer l’ineptie des dernières prises de position, qui fragilisent plus encore cette discipline et ouvrent une brèche dangereuse dans la doctrine de l’archéologie préventive.