L’Exil : Espace dans la Parole perdue

Fiche du document

Date

12 septembre 2013

Type de document
Périmètre
Langue
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1633-5961

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2259-8901

Organisation

OpenEdition

Licences

https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess




Citer ce document

Stefan Bratosin, « L’Exil : Espace dans la Parole perdue », Questions de communication, ID : 10.4000/questionsdecommunication.7938


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

En réitérant des parcours et réaménageant des limites, la prise de la parole de l’exilé réactive les deux principales dimensions constitutives communes des concepts d’exil et d’identité, c’est-à-dire le cheminement et la discontinuité. Mais ces notes ne visent la prise de la parole que dans la mesure où prendre la parole s’apparente à la perte de la parole. La question posée est précisément de savoir si l’écriture, comme pratique de la perte de la parole, réactive l’expérience de l’exil dans la construction d’une identité d’exilé par les mêmes moyens que la prise de la parole. Les éléments de réponse apportés ici participent de la mise à l’épreuve de l’hypothèse que la communication de l’identité de l’écrivain exilé repose sur des références à l’organisation de l’espace, organisation de l’espace restituée au lecteur en rapport avec la continuité et la fragmentation spatiale.

By reiterating courses and refitting limits, the speech of exiled reactivates two principal common dimensions constitutive of the concepts of exile and identity, i.e. progression and discontinuity. But these notes aim at the speech only insofar as the act of speaking are connected with the loss of the word. The question is to know if the writing, like practice of the loss of the word, reactivates the experiment of the exile in the construction of an identity of exiled by the same means as the speech. The brief replies brought here take part of the setting the assumption proof that the communication of the identity of the exiled writer rests on references to the organization of space, organization of space restored with the reader in connection with continuity and space fragmentation.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en