27 janvier 2009
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Florence Autret, « Influence allemande à Bruxelles : un état des forces économiques », Regards sur l’économie allemande, ID : 10.4000/rea.3283
Le débat récent sur la « perte d’influence de la France à Bruxelles » ouvre une perspective dans le traitement des questions européennes. Pour une fois, il n’est plus question de mécano institutionnel mais de pouvoir, au sens strict, c’est-à-dire de la capacité à faire, concrètement, bouger les pièces sur l’échiquier politique et économique. Cette réflexion, encore embryonnaire, peut révolutionner notre manière de voir et de penser l’Europe, en particulier parce qu’elle met en évidence le rôle éminent qu’y jouent les groupes d’intérêt, généralement au vu et au su de tous. Comment, de ce point de vue, l’Allemagne tire-t-elle son épingle du jeu ? Et comment sont structurés la présence et les leviers d’action de ses lobbies ?