A Brief Introduction to Complexity Theory in Managing Public Services

Fiche du document

Date

15 janvier 2021

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0248-9015

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2429-4373

Organisation

OpenEdition

Licences

https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess




Citer ce document

Nicholas Sowels, « A Brief Introduction to Complexity Theory in Managing Public Services », Revue française de civilisation britannique, ID : 10.4000/rfcb.8103


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

This article seeks to provide a brief overview of the development of complexity theory in public sector management. The article starts by reviewing the emergence of complexity theory, first in natural sciences and then in social sciences, as an attempt to analyse complex systems and phenomena which direct “Newtonian” causalities fail to explain fully. Next, it looks at how such complexity theory – which makes the distinction between complexity and chaos – has been used to examine public services. In particular, the article analyses how new public management (NPM) and post-NPM have led to far more complex public service networks and delivery systems than the bureaucratic government structures which existed previously. As a result, research into complex public service systems has itself contributed to the deepening of complexity theory. Finally, the article presents a series of cases in which complexity theory is applied to public sector management, and the management of common pool resources as analysed by Elinor Ostrom. It concludes that complexity theory is a powerful tool for challenging the standard frame of mainstream economics and NPM, but that its applicability is not easy.

Cet article donne un bref aperçu du développement de la théorie de la complexité dans la gestion du secteur public. L'article commence par passer en revue succinctement l'émergence de la théorie de la complexité, d'abord dans les sciences naturelles puis dans les sciences sociales, comme une tentative d'analyser des systèmes et des phénomènes complexes que les causalités directes, « newtoniennes », ne parviennent pas à expliquer pleinement. Ensuite, l’article examine comment cette théorie – qui fait la distinction entre complexité et chaos – est utilisée pour analyser les services publics. En particulier, l'article examine comment la nouvelle gestion publique (NGP) et le « post-NGP » ont créé des réseaux et des systèmes de prestation de services publics beaucoup plus complexes que les structures administratives bureaucratiques qui existaient auparavant. En conséquence, la recherche sur les systèmes complexes de services publics a elle-même contribué à l'approfondissement de la théorie de la complexité. Enfin, l'article présente une série de cas dans lesquels la théorie de la complexité est appliquée à la gestion du secteur public et à la gestion des ressources communes tel qu'elle fut analysée par Elinor Ostrom. Il conclut que la théorie de la complexité est un outil puissant pour remettre en question le cadre standard de l'économie orthodoxe et de la NGP, mais que sa mise en œuvre n'est pas sans difficultés.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en