Les réalisations et les projets de trains rapides légers des anciennes compagnies de chemin de fer avant la création de la SNCF

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15 septembre 2014

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Luc Fournier, « Les réalisations et les projets de trains rapides légers des anciennes compagnies de chemin de fer avant la création de la SNCF », Revue d’histoire des chemins de fer, ID : 10.4000/rhcf.1546


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Les réalisations et les projets de trains rapides légers des anciennes compagnies avant la création de la SNCF s’inscrivent dans le contexte technique de la recherche de l’allègement des charges pour accéder au domaine des grandes vitesses, après l’introduction des voitures métalliques. Les réalisations et projets de l’entre-deux-guerres se répartissent entre les différents modes de traction. En vapeur, on remarque surtout le train aérodynamique du PLM, le projet de train « Bugatti » à moteurs individuels à vapeur et la 221 TQ 1, le projet de 230 à grande vitesse de la compagnie d’Orléans par André Chapelon et, enfin, les réalisations du réseau de l’État dans le domaine des 230 à grande vitesse. Du côté de la traction autonome, l’emportent les réalisations du réseau de l’État, avec les autorails « Bugatti » et le projet de l’automotrice Renault ABL, celles du réseau du PLM, l’automotrice « Bugatti » double, l’automotrice « Bugatti » triple, qui est une réalisation méconnue du réseau Alsace- Lorraine, enfin les rames « TAR » du réseau du Nord. Avec la SNCF et les choix faits pour des trains lourds et non cadencés, on assiste à une éclipse de près de quarante ans puisque le concept du train léger et rapide ne fait son retour qu’à partir de 1980.

Light and fast trains achievements and projects before the SNCF was incorporated belong to the technological context of the research made to lessen the weight of vehicles in order to accede to high speeds, after the turn toward metallic cars had been completed. Achievements of the Interwar period are divided up following the various traction modes. Amongst the steam powered, the mostly noticeable achievement was the aerodynamic train produced by the PLM Company, the “Bugatti” train project empowered with individual steam engines and the 221 TQ 1, the project of high speed engine model 460 of the Compagnie d’Orléans by André Chapelon and, finally, achievements of the Réseau de l’État [State Network] in their own high speed model 460 engines series. In the field of autonomous traction, prevail the realizations achieved by the same Réseau de l’État, with the “Bugatti” railcars and the Renault ABL self-propelled project, of the the PLM network, i.e. the “Bugatti” double self-propelled, and an achievement of the Alsace-Lorraine network, the “Bugatti” triple self-propelled, which is insufficiently acknowledged; lastly the “TAR” trains of the Compagnie du Nord. With the SNCF (1938) and choices made in favour of heavy and comparatively slow trains without basic interval timetable, there is a total eclipse of nearly forty years as the light fast train concept comes back only after 1980.

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