22 février 2018
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Wendy Pfeffer, « Les manuscrits ne mentent pas : le cas de Dante et le De vulgari eloquentia », Revue des langues romanes, ID : 10.4000/rlr.377
L’envergure du De vulgari eloquentia de Dante n’a pas besoin d’explication pour ceux qui connaissent la littérature italienne ou la tradition de la rhétorique médiévale. Peu importe que l’œuvre soit incomplète ; on la cite souvent pour les réflexions exprimées par Dante sur la littérature et les langues du 14e siècle (voir, par exemple, Albesano 2012, 329-40). Cependant, le traité n’a pas toujours été aussi connu : bien que publié pour la première fois au 16e siècle, on ne saura dire qui l’a ...