L’apocalypse au pluriel

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14 mai 2019

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Matthew Carey, « L’apocalypse au pluriel », Terrain, ID : 10.4000/terrain.17974


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L’apocalypse selon la modernité tardive – une apocalypse absolue, celle de la destruction totale de l’humanité – diffère-t-elle radicalement des traditions religieuses de l’Apocalypse, qui toutes voyaient la fin d’un monde comme le prélude à la renaissance d’un autre ? Nous proposons ici, en lieu et place de cette distinction, deux thèses entrelacées : la fin d’un monde est toujours, en premier lieu, la fin du monde pour ceux qui la conçoivent. Toute fin du monde par ailleurs, quelle que soit son envergure, admet la possibilité d’un monde à venir. Dans ce cadre, temporalités de la fin, dénaturalisation du monde et Heimatlosigkeit sont parmi les principaux opérateurs des imaginaires apocalyptiques contemporains.

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