La nature dans le Mayse bukh

Fiche du document

Date

25 juillet 2019

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Source

Tsafon

Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1149-6630

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/2609-6420

Organisation

OpenEdition

Licences

All rights reserved , info:eu-repo/semantics/openAccess




Citer ce document

Astrid Starck-Adler, « La nature dans le Mayse bukh », Tsafon, ID : 10.4000/tsafon.797


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

Dans le Mayse bukh [Livre d’histoires] imprimé à Bâle en 1602, la nature comme création divine joue un rôle fondamental. Elle englobe la flore et la faune qui, en tant que messagères de Dieu et exécutrices de sa volonté, rappellent à l’homme et à la femme ses devoirs sur terre et leur ouvrent les portes de la réminiscence originelle et paradisiaque, en Terre d’Israël et plus tard en diaspora. Le savoir sur les plantes deviendra l’apanage de la femme pieuse, tandis qu’à l’homme pieux échoira la connaissance de toute la Torah et des langues, y compris celle des animaux.

In the Mayse bukh, printed in Basel in 1602, nature as divine creation plays a fundamental role. Nature encompasses flora and fauna, both God’s messenger intended to execute His will, who remind mankind of its duties on Earth and guides man and woman in the path to reminiscence of the Paradise, first in Erets Israel, and later in the Diaspora. The science of plants was to become a feminine prerogative specific to the pious woman, whereas the pious man is granted with knowledge of the Torah and the ability to speak all speeches, including the language of the animals.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en