Pizarnik through Levine’s Looking Glass: How Subversive Is the Scribe?

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2006

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TTR : traduction, terminologie, rédaction ; vol. 19 no. 2 (2006)

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Madeleine Stratford, « Pizarnik through Levine’s Looking Glass: How Subversive Is the Scribe? », TTR: Traduction, terminologie, rédaction, ID : 10.7202/017826ar


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Résumé En Fr

Suzanne Jill Levine is known above all for her English translations of Cabrera Infante, Sarduy and Puig, with whom she worked closely. While a lot has been written about her translations of fiction by men, little research has been done on her translations of women writers. In this paper, I analyse a selection of her English renditions of Alejandra Pizarnik in order to see how Levine behaves when translating the poetic work of a woman. First, considering that Levine describes herself as a “subversive scribe, ‘transcreating’ writing that stretches the boundaries of patriarchal discourse,” how does the fact that she shares the author’s gender affect her “transcreations?” Then, bearing in mind that Levine has often stressed the complexity of fiction translation, refuting the “common belief that novels are easier to translate than poetry,” how does she deal with the translation of lyrical poems? And last, how rebellious is she when translating an author who has passed away and whom she cannot consult?

On connaît avant tout Suzanne Jill Levine pour ses traductions anglaises de Cabrera Infante, Sarduy et Puig, avec qui elle a travaillé en étroite collaboration. Alors que plusieurs se sont penchés sur ses traductions de prose masculine, peu se sont intéressés à ses traductions d’oeuvres féminines. Dans cette étude, nous analysons quelques-unes de ses traductions de la poète argentine Alejandra Pizarnik pour voir comment Levine se comporte lorsqu’elle traduit l’oeuvre poétique d’une femme. D’abord, considérant que Levine se décrit comme une « scribe subversive qui ‘transcrée’ des écrits renforçant les frontières du discours patriarcal », comment le fait de traduire une auteure du même sexe influence-t-il ses « transcréations »? Ensuite, compte tenu de la complexité de la traduction de la prose que Levine a souvent soulignée, réfutant la « croyance populaire selon laquelle il est plus facile de traduire des romans que de la poésie », comment aborde-t-elle la traduction de poèmes lyriques? Enfin, à quel point est-elle rebelle quand elle traduit une auteure décédée qu’elle ne peut consulter?

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