La petite fille et l’éléphant. Violences inconcevables, transfert et mise en récit 

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2010

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Filigrane : Écoutes psychothérapiques ; vol. 19 no. 1 (2010)

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Louise Grenier, « La petite fille et l’éléphant. Violences inconcevables, transfert et mise en récit  », Filigrane: Écoutes psychothérapiques, ID : 10.7202/044180ar


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Résumé 0

Comment suppléer aux déchirures de la mémoire ? Comment raconter une violence extrême – physique ou psychologique – vécue dans un temps qui précède la parole, et alors qu’aucune possibilité de représentation et de récit n’existe ? Dans La petite fille et l’éléphant, j’émets l’hypothèse que la violence contre soi constitue une défense contre un état d’abandon psychique. La cure analytique pourrait être ce lieu qui permet à la fois la symbolisation de cet état d’abandon et la mise en récit de soi dans son rapport à des violences primitives. Partant de mes souvenirs et expériences cliniques, des témoignages apportés par des romanciers, philosophes et collègues psychanalystes, j’interroge ce que j’appelle « l’expérience de l’inconcevable » et propose une approche qui favorise la mise en récit de soi (qui inclut les silences de son passé) à partir du transfert.

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