Karol Szymanowski and Richard Strauss: Of Diverging Epiphanies

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2004

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Paul Cadrin, « Karol Szymanowski and Richard Strauss: Of Diverging Epiphanies », Canadian University Music Review / Revue de musique des universités canadiennes, ID : 10.7202/1014581ar


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Résumé En Fr

According to the philosopher Charles Taylor, since the beginning of the nineteenth century, with the advent of Romanticism, the work of art is defined by its epiphanic character. It is a manifestation of something of the highest moral or spiritual significance; this manifestation is not merely subjective, in which case it would be inaccessible to scholarly inquiry, but it has an objective character. The Third Symphony, op. 27, by Karol Szymanowski is analyzed in the light of Taylor's concept. The Deutsche Motette, op. 62, by Richard Strauss, which is based on a text similar to the one used by Szymanowski, serves as a foil to buttress the findings.

D’après le philosophe Charles Taylor, depuis l’avènement du Romantisme, au début du dix-neuvième siècle, l’œuvre d’art se définit par son caractère épiphanique. Elle est le lieu de la manifestation d’une réalité de la plus haute importance morale et spirituelle; cette manifestation n’est pas purement subjective, ce qui la rendrait imperméable à l’examen scientifique, mais elle a un caractère objectif. La Troisième symphonie, op. 27, par Karol Szymanowski est analysée à la lumière de la théorie de Taylor. La Deutsche Mofette, op. 62, de Richard Strauss, basée sur un texte similaire à celui utilisé par Szymanowski, sert de repoussoir pour confirmer les conclusions.

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