Trésor perdu et expérience cinématographique de l’adresse au tiers : Pourquoi faire un film sur le 17 juillet 1791 ?. Le beau dimanche de Dominique Cabrera, 2007

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2013

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Intermédialités : Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques ; no. 21 (2013)

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Sophie Wahnich, « Trésor perdu et expérience cinématographique de l’adresse au tiers : Pourquoi faire un film sur le 17 juillet 1791 ?. Le beau dimanche de Dominique Cabrera, 2007 », Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques / Intermediality: History and Theory of the Arts, Literature and Technologies, ID : 10.7202/1020623ar


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Si la Révolution française est devenue un trésor perdu, l’expérience cinématographique offre de nouvelles possibilités pour le retrouver et pose des questions nouvelles à l’historien de la Révolution française. En prenant appui sur un film de Dominique Cabrera intitulé Le Beau Dimanche (2007), il s’agit de montrer qu’une nouvelle figure de tiers, le fantôme, permet de reconsidérer la figuration d’un régime d’historicité caractérisé par des effets retour de ce qui était resté tabou et, dans le cas de cet article, de la violence répressive des demandes populaires de justice.

If the French Revolution has become a forgotten treasure, the cinematographic experience offers new ways of rediscovering it and raises new questions for historians. This paper focuses on Dominique Cabrera’s film Le Beau Dimanche (2007) to point to a new figure—the ghost, the “third” (le tiers)—that allows us to reconsider historical figurations of what remained taboo and, specifically, the repressive violence of popular demands for justice.

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