U.S. Consideration of the Intangible Cultural Heritage Convention

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2014

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Ethnologies ; vol. 36 no. 1-2 (2014)

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Richard Kurin, « U.S. Consideration of the Intangible Cultural Heritage Convention », Ethnologies, ID : 10.7202/1037612ar


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Résumé En Fr

UNESCO, the United Nations Educational, Scientific, and Cultural Organization, voted overwhelmingly at the biennial meeting of its General Conference in Paris on October 17, 2003 to adopt a new international Convention for the Safeguarding of Intangible Cultural Heritage. That Convention became international law on April 30, 2006. By the end of 2006 it had been ratified or accepted by 68 countries; today, that number is approaching universal acceptance with more than 160 nations having acceded to the convention. At the 2003 session, some 120 nation-members voted for the convention; more registered their support subsequently. No one voted against it; only a handful of nations abstained – Australia, Canada, the United Kingdom, and the United States among them. Within some of those nations, debate over whether to ratify the treaty continues. In this paper, the author considers the convention and unofficially examines the U.S. government position with regard to why support for it was withheld in 2003, how deliberations have proceeded since then, and whether or not the U.S. might ultimately accept the treaty.

L’UNESCO, l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture, a voté à une majorité écrasante, lors de la réunion biennale de sa Conférence générale à Paris, le 17 octobre 2003, en faveur de l’adoption de la nouvelle Convention internationale pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Cette Convention est devenue une loi internationale le 30 avril 2006. À la fin de l’année 2006, elle avait été ratifiée ou acceptée par 68 pays ; aujourd’hui elle est quasiment universellement acceptée, plus de 160 nations ayant ratifiéé la Convention. Lors de la session de 2003, quelque 120 nations-membres avaient voté en faveur de la Convention ; d’autres y ont souscrit par la suite. Personne n’a voté contre ; seuls quelques rares pays se sont abstenus – dont l’Australie, le Canada, le Royaume-Uni et les États-Unis. Au sein de ces pays, on discute encore de savoir s’il faut ou non ratifier ce traité. Dans cet article, à titre officieux, l’auteur examine la Convention et la position du gouvernement américain à son sujet, exposant les raisons du retrait de son soutien à celle-ci en 2003, relatant la façon dont les délibérations se sont déroulées depuis, et cherchant à déterminer si oui ou non les États-Unis finiront par accepter ce traité.

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