Tikkun Olam: Collectivity, Responsibility, History. A Qualitative Study of Tikkun Olam Among Jewish Community Workers in Greater Vancouver

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2016

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Canadian Social Work Review ; vol. 33 no. 2 (2016)

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Alex Leslie, « Tikkun Olam: Collectivity, Responsibility, History. A Qualitative Study of Tikkun Olam Among Jewish Community Workers in Greater Vancouver », Canadian Social Work Review / Revue canadienne de service social, ID : 10.7202/1038703ar


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Résumé En Fr

This paper presents findings from qualitative interviews with five Jewish people — two Rabbis and three workers in various community service capacities — about their understandings and practices of the Jewish principle of tikkun olam. Tikkun olam is a Hebrew phrase that means “the repair of the world,” has its roots in Rabbinic law, the Kabbalah and the ‘Aleinu prayer, and became a mainstream term for Jewish social justice work and community contribution in North America following the Shoah (Holocaust). In this study, participants spoke to the imperative to act and responsibility; external tikkun and internal tikkun; collectivity and interconnectedness; the presence of Jewish history in their work, particularly in the case of the Holocaust; and the spiritual dimension of working with people. This study was undertaken with a narrative approach, to honour and preserve understandings of tikkun olam across Jewish communities. This study indicates the continuing influence of tikkun olam in settings both within and outside the Jewish community. Potential future areas of research are the role of spirituality in social workers’ commitment to social justice and the commitment expressed by several participants to work with Aboriginal people based on a shared history of cultural genocide.

Le présent article expose les résultats d’entretiens qualitatifs menés auprès de cinq personnes juives – deux rabbins et trois femmes qui travaillent à divers titres dans des services communautaires – au sujet de ce qu’ils savent du principe juif de tikkoun olam et de la façon dont ils le mettent en pratique. Ce principe, dont le nom vient de l’hébreu et signifie « réparation du monde », trouve son origine dans la loi rabbinique, la kabbale et la prière Aleinu. L’expression tikkoun olam est devenue courante pour désigner les efforts de justice sociale et la contribution communautaire des Juifs en Amérique du Nord après la Shoah (holocauste). Dans la présente étude, les participants ont parlé de la nécessité d’agir et du sentiment de responsabilité qui les habitent; de tikkoun externe et de tikkoun interne; de collectivité et d’interconnexion; de la présence de l’histoire juive dans leur travail, particulièrement dans le cas de l’holocauste; et de la dimension spirituelle du travail auprès des gens. L’étude a été menée dans une approche descriptive, pour honorer et préserver les connaissances des communautés juives entourant le tikkoun olam. Elle montre que ce principe continue à avoir de l’influence tant au sein de la communauté juive qu’à l’extérieur. De futures recherches pourraient porter sur le rôle de la spiritualité dans l’engagement des travailleurs sociaux à l’égard de la justice sociale et sur la volonté exprimée par plusieurs participants de travailler avec les Autochtones vu le vécu du génocide culturel qu’ils partagent.

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