An Alternative to Medical Assistance in Dying? The Legal Status of Voluntary Stopping Eating and Drinking (VSED)

Fiche du document

Date

2018

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

All Rights Reserved ©, 2018JocelynDownie


Mots-clés

medical assistance in dying voluntary stopping eating and drinking oral nutrition and hydration aide médicale à mourir arrêt volontaire de manger et de boire nutrition orale et hydratation


Citer ce document

Jocelyn Downie, « An Alternative to Medical Assistance in Dying? The Legal Status of Voluntary Stopping Eating and Drinking (VSED) », Canadian Journal of Bioethics / Revue canadienne de bioéthique, ID : 10.7202/1058267ar


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

Medical assistance in dying (MAiD) has received considerable attention from many in the field of bioethics. Philosophers, theologians, lawyers, and clinicians of all sorts have engaged with many challenging aspects of this issue. Public debate, public policy, and the law have been enhanced by the varied disciplinary analyses. With the legalization of MAiD in Canada, some attention is now being turned to issues that have historically been overshadowed by the debate about whether to permit MAiD. One such issue is voluntary stopping eating and drinking (VSED) as an alternative to MAiD. In this paper, I will apply a legal lens to the issue. An understanding of whether VSED is legal provides a foundation for ethical reflection on whether it ought to be permitted. Is it permitted for those who prefer VSED to MAiD? Is it permitted for those who do not qualify for MAiD under our current legislation – for those who do not have a grievous and irremediable medical condition, for mature minors, for individuals whose sole underlying medical condition is a mental disorder and who do not otherwise meet the eligibility criteria, and for individuals who have lost capacity but had completed an advance directive?

L’assistance médicale à mourir (AMM) a reçu beaucoup d’attention de la part de nombreux acteurs dans le domaine de la bioéthique. Des philosophes, des théologiens, des avocats et des cliniciens de toutes sortes ont abordé de nombreux aspects difficiles de cette question. Le débat public, la politique publique et la loi ont été renforcés par des analyses disciplinaires variées. Avec la légalisation du AMM au Canada, on s’intéresse maintenant à des questions qui ont toujours été éclipsées par le débat sur l’autorisation de l’AMM. Un de ces problèmes est l’arrêt volontaire de manger et boire (AVMB) comme une alternative à l’AMM. Dans cet article, je vais appliquer une perspective légale à la question. Une compréhension des aspects légaux de l’AVMB permet d'établir les fondements d'une réflexion éthique au sujet de son autorisation. Est-il permis pour ceux qui préfèrent l’AVMB à l’AMM? Est-il permis pour ceux qui ne sont pas admissibles à l’AMM en vertu de notre législation actuelle – pour ceux qui n’ont pas de maladie grave et irrémédiable, pour les mineurs matures, pour les personnes dont la seule condition médicale sous-jacente est un trouble mental et qui ne rencontrent pas les critères d’admissibilité, et pour les personnes ayant perdu leur capacité, mais ayant rempli une directive préalable?

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en