Illustrations, apports et limites d’une posture inductive en recherche-action-formation

Fiche du document

Date

2019

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Approches inductives : Travail intellectuel et construction des connaissances ; vol. 6 no. 1 (2019)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Tous droits réservés © Approches inductives, 2019




Citer ce document

Geneviève Bergeron et al., « Illustrations, apports et limites d’une posture inductive en recherche-action-formation », Approches inductives: Travail intellectuel et construction des connaissances, ID : 10.7202/1060043ar


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

La recherche-action-formation (RAF) n’est pas une approche méthodologique nouvelle. Elle peut par ailleurs emprunter différents paradigmes et s’actualiser par l’entremise d’un éventail de méthodes et d’outils (Dolbec & Prud’homme, 2009). Dans cet article, nous souhaitons montrer que la RAF représente un terreau fertile à l’induction, une posture singulière que le chercheur peut adopter dans l’exploration de phénomènes humains et selon laquelle c’est la méthode qui s’adapte à l’objet et aux particularités du terrain, et non l’inverse. Plus précisément, l’article vise à illustrer comment s’est manifestée cette perspective inductive dans l’articulation singulière d’une RAF (Bergeron, 2014). Sont notamment mises en lumière certaines marques de l’induction qui influencent la nature des régulations entre les trois pôles de la RAF où les processus de collecte et d’analyse des données sont en constant dialogue. L’article se termine par une discussion entourant certains apports et limites qui peuvent s’associer à l’adoption d’une telle posture.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en