The Complicated but Plain Relationship of Intellectual Disability and Well-being

Fiche du document

Auteur
Date

2020

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Copyright © JamesGould, 2020


Mots-clés

intellectual disability life satisfaction mere difference quality of life well-being déficience intellectuelle satisfaction de vivre simple différence qualité de vie bien-être


Citer ce document

James Gould, « The Complicated but Plain Relationship of Intellectual Disability and Well-being », Canadian Journal of Bioethics / Revue canadienne de bioéthique, ID : 10.7202/1068762ar


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

The common belief is that disability is bad for the person who is disabled, that it has a negative effect on well-being. Some disability rights activists and philosophers, however, assert that disability has little or no impact on how well a person’s life goes, that it is neutral with respect to flourishing. In recent articles Stephen Campbell and Joseph Stramondo, while rejecting both views, claim that we cannot make any broad generalizations about the effect of disability on well-being. Whether they are right about physical and sensory disabilities, I do not know, but I argue that they are wrong about intellectual disabilities (ID). A broad generalization about intellectual disabilities is justified: it always has a negative impact on quality of life, even though there is no single negative impact. The disadvantages of ID are plain (all ID is bad) but complicated (its badness depends on multidimensional influences including biological condition, social environment and personal temperament).

La croyance commune est que le handicap est mauvais pour la personne handicapée, qu’il a un effet négatif sur le bien-être. Certains philosophes et militants des droits des personnes handicapées, cependant, affirment que le handicap a peu ou pas d’impact sur la qualité de vie d’une personne, qu’il est neutre quant à son épanouissement. Dans des articles récents, Stephen Campbell et Joseph Stramondo, tout en rejetant les deux points de vue, affirment que nous ne pouvons pas faire de larges généralités concernant le handicap sur le bien-être. Qu’ils aient raison sur les handicaps physiques et sensoriels, je ne sais pas, mais je soutiens qu’ils ont tort sur les handicaps intellectuels. Une large généralisation des déficiences intellectuelles (DI) est justifiée: elle a toujours un impact négatif sur la qualité de vie, même s’il n’y a pas d’impact négatif unique. Les inconvénients de la DI sont clairs (toute DI est mauvaise), mais compliqués (sa gravité dépend des influences multidimensionnelles, y compris la condition biologique, l’environnement social et le tempérament personnel).

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en