The Class of 1838 : A Social History of the First Victorian Novelists

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2020

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Authors British Isles class novel Victorian Period Auteurs îles britanniques classe sociale roman époque victorienne


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Allen Riddell et al., « The Class of 1838 : A Social History of the First Victorian Novelists », Mémoires du livre / Studies in Book Culture, ID : 10.7202/1070272ar


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Résumé En Fr

Following the work of Raymond Williams, this article examines the 81 fiction authors published in 1838. First, we examined the social origins of the authors as judged by their fathers’ occupations. Whereas the majority of adults living in the British Isles during this period were working class, the majority of the Class of 1838 originated in the upper classes. Second, we traced their careers by finding their ages at first published novel, their total novels, and the span of their careers. Though no significant differences were found between the careers of men and women authors, there was a general lack of persistence to write a second novel. And last, we inspected the title pages of the 87 published works of fiction in 1838 to investigate the ways in which authors presented themselves to readers. Contrary to expectations, men authors were more likely than women authors to conceal their identities.

S’inspirant des travaux de Raymond Williams, le présent article porte sur les 81 écrivains publiés en 1838. Nous examinons d’abord l’origine sociale de ceux-ci, établie en fonction de l’activité du père. Alors que la majorité des adultes des îles Britanniques appartenaient à l’époque à la classe ouvrière, la plupart des écrivains de la cohorte de 1838 émanaient des classes supérieures. Nous dressons ensuite un portrait de leur carrière à partir des données suivantes : âge auquel ils ont publié leur premier roman, nombre de romans publiés et nombre d’années sur lequel leur carrière s’est échelonnée. Aucune différence significative ne se dégage entre la carrière des hommes et celle des femmes. Cependant, on remarque l’absence d’un second roman chez nombre des membres de la cohorte. Enfin, nous nous attardons à la manière dont les écrivains se présentent au lectorat sur la page titre des 87 oeuvres de fiction publiées en 1838. Contrairement à ce à quoi on pourrait s’attendre, les hommes dissimulent leur identité dans une plus large proportion que les femmes.

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