The Arches of Chinatown: Identity, Agency, and Belonging in Vancouver 1896–1936

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2019

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Journal of the Canadian Historical Association ; vol. 30 no. 2 (2019)

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Frank A. Abbott, « The Arches of Chinatown: Identity, Agency, and Belonging in Vancouver 1896–1936 », Journal of the Canadian Historical Association / Revue de la Société historique du Canada, ID : 10.7202/1074380ar


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Résumé En Fr

The British Columbia Chinese community struggled against political and economic racism and discrimination in the first half of the twentieth century. This study focuses on four festive civic celebrations in the period 1896-1936 when Vancouver’s Chinese Canadians employed traditional Chinese culture to assert their place as a legitimate component of the city’s social fabric. They joined official Vancouver in greeting China’s most respected statesman in 1896; participated in civic celebrations for visiting members of Britain’s royal family in 1901 and 1912; and organized one of the most successful aspects of Vancouver’s 1936 fiftieth anniversary celebrations, a four-week “Chinese Carnival.” Voices in the “white” community during the same period steadily but slowly articulated increased levels of acceptance of the Chinese presence. Changes in the popular journalistic portrayal of Chinese people reveal a gradual lessening of racist tropes and stereotypes. Finally, an English-language pamphlet produced in the Chinese community for the carnival provides a glimpse of how Canadian-born Chinese Canadians themselves were forging an increasingly North American identity, undermining arguments about their “inability” to adapt to Canadian cultural values.

La communauté chinoise de la Colombie-Britannique a lutté contre le racisme et la discrimination politique et économique dans la première moitié du XXe siècle. Cette étude se concentre sur quatre célébrations civiques qui ont eu lieu entre 1896 et 1936, lorsque les Canadiens d’origine chinoise de Vancouver ont utilisé la culture chinoise traditionnelle pour affirmer leur place en tant que composante légitime du tissu social de la ville. Ils se sont joints au Vancouver officiel pour saluer l’homme d’État le plus respecté de la Chine en 1896, ont participé aux célébrations civiques pour les membres de la famille royale britannique en visite en 1901 et 1912, et ont organisé l’un des aspects les plus réussis des célébrations du cinquantième anniversaire de Vancouver en 1936, un « carnaval chinois » de quatre semaines. Durant cette même période, certains membres de la communauté « blanche » ont progressivement mais lentement exprimé leur approbation croissante envers la présence chinoise. Les changements dans la représentation journalistique populaire des Chinois révèlent une diminution progressive des tropes et des stéréotypes racistes. Enfin, une brochure en anglais produite par la communauté chinoise pour le carnaval donne un aperçu de la façon dont les Canadiens d’origine chinoise se forgeaient eux-mêmes une identité de plus en plus nordaméricaine, allant ainsi à l’encontre des arguments concernant leur « incapacité » à s’adapter aux valeurs culturelles canadiennes.

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