To All Who Should Be Concerned

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2019

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Intersections : Canadian Journal of Music ; vol. 39 no. 1 (2019)

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© Canadian University Music Society / Société de musique des universités canadiennes, 2021

Résumé En Fr

xexé:yltholetsel te sqwà:ls te'íle tl'ekwelep tél:exwatlha ye s'í:wes shxwélméxwelh. xéyxewetholetsel. ólew híth kw'elsu ó:lmethome. eyeléwthelh. tl'élexw kw'a's qel í:weselep. éy kw's totí:ltset, lheqtó:léstexwtset te syó:ys te í. ewe qelélweselep. xwelítem skwukwelstéleq talhwélep, maytólxwchapcha (xwélmexw, lets'ô:lmexw) tlowáyél, qas te wáy:eles.This letter describes some of the foundation and basic structural changes that must be implemented by music programs in order to move toward decolonial forms of music education. The letter serves as one starting point for such change among many that must always be led by Indigenous, Black, Latinx, Asian and other scholars / artists of colour (IBPOC) who live and work in the locations where music programs are based. Community-led change is imperative in order to avoid the replication of normative systems of music education that merely include diverse content. The letter asserts that while curricular change and hiring of IBPOC scholars constitute one part of this change, it might also be understood as a form of additive inclusion. Models of additive inclusion proceed by placing diverse content within normative, white supremacist structures of pedagogy that remain unchanged. Additive inclusion consequently maintains the power of those who choose what content to include, rather than giving over space for IBPOC leadership to determine the parameters for change, and to determine how foundational structures of music education should be dismantled and renewed.

xexé:yltholetsel te sqwà:ls te'íle tl'ekwelep tél:exwatlha ye s'í:wes shxwélméxwelh. xéyxewetholetsel. ólew híth kw'elsu ó:lmethome. eyeléwthelh. tl'élexw kw'a's qel í:weselep. éy kw's totí:ltset, lheqtó:léstexwtset te syó:ys te í. ewe qelélweselep. xwelítem skwukwelstéleq talhwélep, maytólxwchapcha (xwélmexw, lets'ô:lmexw) tlowáyél, qas te wáy:eles.Cette lettre décrit certains fondements et changements de base structurels qui doivent être implantés dans les cursus musicaux de façon à parvenir à des formes décoloniales d’éducation musicale. Cette lettre sert de point de départ pour de tels changements, lesquels devraient toujours être dirigés par des Autochtones, des Noirs, des Latinos, des Asiatiques et d’autres universitaires et artistes de couleurs (PANDC) qui vivent et travaillent sur les lieux où les programmes de musique sont basés. Le changement initié par les communautés est impératif pour éviter de reproduire des systèmes normatifs d’éducation musicale qui ne font qu’inclure divers contenus. Cette lettre soutient que les transformations émergeant des modifications au curriculum et de l’embauche d’universitaires PANDC peuvent être comprises comme une forme d’inclusion additive. Les modèles d’inclusion additive procèdent en normalisant divers contenus, tandis que les structures suprématistes blanches de la pédagogie demeurent inchangées. Par conséquent, l’inclusion additive maintient au pouvoir ceux qui choisissent le contenu à inclure, au lieu de faire place au leadership des PANDC pour déterminer les paramètres du changement ainsi que les manières dont les structures fondamentales de l’éducation musicale devraient être démantelées et renouvelées.

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