Green Bonds: Ownership, Friendship, and Kinship in Eighteenth-Century British Gardens

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2020

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Intermédialités : Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques ; no. 35 (2020)

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Laurent Châtel, « Green Bonds: Ownership, Friendship, and Kinship in Eighteenth-Century British Gardens », Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques / Intermediality: History and Theory of the Arts, Literature and Technologies, ID : 10.7202/1076371ar


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Résumé En Fr

This article sets out to recapture a sense of the collective and collaborative approach to gardening, arguing that the study of intermediality in the context of eighteenth-century British gardens is not just about the melting pot of sister arts, but also the meeting place of sisters-and-brothers-in-arts, painters, poets, amateurs, patrons, and professionals alike finding themselves connected in and through gardens—a shift of emphasis onto the human relations and brotherliness forged through the arts, which contributes to the social history of gardens.

Cet article, par son approche, vise à restituer le caractère collectif et collaboratif du jardinage en soutenant que l’étude de l’intermédialité dans le contexte des jardins britanniques du 18e siècle ne concerne pas seulement le creuset des arts « soeurs ». Elle concerne aussi le lieu de rencontre des soeurs et frères en art, peintres, poètes, amateurs, mécènes et professionnels se trouvant connectés dans et par les jardins. L’accent ainsi déplacé sur les relations humaines et la fraternité forgées par les arts entend offrir par là une contribution à l’histoire sociale des jardins.

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