Les technologies numériques au service de la cinéphilie : l’hybridation ciné-picturale dans Tintin de Steven Spielberg et l’immersion cinéphile dans Hugo Cabret de Martin Scorsese

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2020

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Droits d'auteur, 2020, BaptisteCreps




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Baptiste Creps, « Les technologies numériques au service de la cinéphilie : l’hybridation ciné-picturale dans Tintin de Steven Spielberg et l’immersion cinéphile dans Hugo Cabret de Martin Scorsese », Sens public, ID : 10.7202/1079458ar


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Au cours de la décennie précédente, les technologie numériques ont été utilisées par Hollywood comme arguments pour remporter la guerre contre les petits écrans (télévisions, tablettes numériques, smartphones, etc.) et les plateformes numériques naissantes. Parmi ces technologies, le cinéma en relief (3D) et la performance capture ont été employés dans de nombreux films pour accentuer le caractère monumental du spectacle hollywoodien et plonger les spectateurs dans leurs mondes diégétiques, notamment en tentant de faire disparaitre le plus possible le cadre matériel de l’écran. Le texte qui suit met en exergue l’utilisation de ces technologies dans Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne (Steven Spielberg, 2011) et Hugo Cabret (Martin Scorsese, 2011) à la suite du succès colossal d’Avatar (James Cameron) en 2009. Il propose d’étudier comment Spielberg et Scorsese ont travaillé cette idée de disparition du cadre de manière tout particulièrement cinéphile.

In the past decade, digital technology has been used by Hollywood as arguments to win the war against the smaller screens (TVs, tablet computers, smartphones, etc.) and the emerging streaming platforms. Among these technologies “3D” and “performance capture” have been employed in many movies in order to enhance the dramatic and spectacular power of films and immerse the audience into their diegetic worlds, especially by trying to make the frame disappear the more they could. The following text argues about the use of these technologies in The Adventures of Tintin: The Secret of the Unicorn (Steven Spielberg, 2011) and Hugo Cabret (Martin Scorsese, 2011) following the huge success of James Cameron’s Avatar in 2009. It focuses on how Spielberg and Scorsese managed to work this idea of disappearance of the frame with a pure cinephile style.

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