Augustin Frigon et la Radio Nationale au Canada

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1995

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Scientia Canadensis : Canadian Journal of the History of Science, Technology and Medicine ; vol. 19 (1995)

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Alain Canuel, « Augustin Frigon et la Radio Nationale au Canada », Scientia Canadensis: Canadian Journal of the History of Science, Technology and Medicine / Scientia Canadensis: Revue canadienne d'histoire des sciences, des techniques et de la médecine, ID : 10.7202/800393ar


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Résumé En Fr

This paper traces the main steps of Augustin Frigon's career who has devoted the largest part of his life to the development of the national radiobroadcasting in Canada. The studies that he did in the United States and France as well as the positions he held at the École Polytechnique de Montréal will be used as a catalyst for his future administrative carreer in the radiobroadcasting sector. His nomination as member of the Royal Commission on Radiobroadcasting in 1928 (Aird Commission) is the starting point of his career. A few years later, Frigon was nominated as assistant director, and then later as director general of the Canadian Broadcasting Corporation. These two key positions allowed him to realize the initial plan proposed in the Aird report, that is to introduce new radiobroadcasting services (FM network, international service, short waves, etc.) and to play a major role during the international conferences on radio. Inevitably, such positions have brought Frigon to the fore front of the national broadcasting scene and, therefore, he found himself in the middle of the controversy on the 1942 plebiscite. The paper also underlines Frigon's role in the development of the French CBC network.

Cet article retrace les principales étapes de la carrière d’Augustin Frigon qui a consacré la plus grande partie de sa vie au développement de la radio nationale au Canada. Les études qu’il a entreprises aux États-Unis et en France de même que les fonctions qu’il a occupées à l’École Polytechnique de Montréal servent de catalyseur à sa future carrière d’administrateur dans le domaine radiophonique. Sa nomination comme membre de la Commission royale sur la radiodiffusion en 1928 (Commission Aird) constitue le véritable point de départ de sa carrière. Quelques années plus tard, Frigon accède au poste de directeur adjoint, puis de directeur général de la Société Radio-Canada. Ces deux fonctions-clés lui permettront de réaliser le plan initial proposé dans le rapport de la Commission Aird, d’introduire de nouveaux services de radiodiffusion (réseau MF, service international, ondes courtes, etc.) et de jouer un rôle majeur lors des rencontres internationales sur la radio. Forcément, de telles fonctions conduiront Augustin Frigon à l’avant-plan de la scène radiophonique nationale et, dès lors, nous le retrouverons au centre d’une controverse reposant sur le plébiscite de 1942. L’article met également en relief le rôle de Frigon dans le développement du réseau français de Radio-Canada.

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