Born in War: Canada's Postwar Engineers and Toronto's Ajax Division

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1997

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Scientia Canadensis : Canadian Journal of the History of Science, Technology and Medicine ; vol. 21 (1997)

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Copyright © Canadian Science and Technology Historical Association / Association pour l'histoire de la science et de la technologie au Canada, 1999



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Jean-Louis Trudel, « Born in War: Canada's Postwar Engineers and Toronto's Ajax Division », Scientia Canadensis: Canadian Journal of the History of Science, Technology and Medicine / Scientia Canadensis: Revue canadienne d'histoire des sciences, des techniques et de la médecine, ID : 10.7202/800401ar


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Résumé En Fr

With the start of the Second World War, the University of Toronto's Faculty of Applied Science and Engineering embarked on an unprecedented expansion that would eventually lead it to a wartime boomtown forty kilometers to the east of its downtown campus. For three and a half years after the war, returned men and women studied engineering in the converted barracks and buildings of the Ajax shell-filling plant. The stage for the postwar engineering boom, common to many Canadian universities, and especially Toronto's, was set during this time, and some of engineering's more enduring traditions at the University of Toronto may have been reinforced by the forced seclusion of the Ajax engineers as well as by the special treatment accorded to the overwhelmingly male veterans by the faculty and staff. In many ways, the story of Ajax Division is pivotal to understanding the training of engineers at the University of Toronto since the Second World War.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la Faculté des sciences appliquées et de génie de l’Université de Toronto a connu un essor sans précédent qui a fini par la mener jusqu’à une ville nouvelle à quarante kilomètres du campus Saint-George au centre-ville. Pendant trois années et demie après la fin de la guerre, des vétérans en grand nombre ont étudié le génie dans les baraques et bâtisses reconverties de l’usine de munitions d’Ajax. L’amorce du boom d’après-guerre en génie, qui a profité à plusieurs universités canadiennes et surtout celle de Toronto, remonte à cette époque et certaines des traditions les mieux enracinées de la Faculté de génie à l’Université de Toronto ont pu être renforcées par l’isolement des ingénieurs d’Ajax ainsi que par le traitement de faveur accordé aux vétérans — pratiquement tous des hommes — par la faculté et le personnel enseignant. À bien des égards, l’histoire du campus d’Ajax jette une lueur cruciale sur la formation des ingénieurs à l’Université de Toronto depuis la Seconde Guerre mondiale.

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