Des « Boches » à Lyon et dans le Rhône entre 1915 et 1920 : le travail des prisonniers de guerre allemands entre économie de guerre et cohabitation avec l’ennemi

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30 juin 2016

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Guerre

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Élodie Rivalin, « Des « Boches » à Lyon et dans le Rhône entre 1915 et 1920 : le travail des prisonniers de guerre allemands entre économie de guerre et cohabitation avec l’ennemi », Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.02cbj0


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En août 1914, la mobilisation générale conduit au départ de près de 3.780.000 travailleurs dont plus de 100.000 à Lyon. Si pour les contemporains, la guerre sera courte, l’enracinement dans le conflit remet en cause le dynamisme économique du département du Rhône qui souffre d’une pénurie de main-d’œuvre. Malgré un discours national germanophobe qui entraîne un rejet des populations rhodaniennes de l'arrière, les prisonniers allemands sont progressivement forcés de participer à l’effort de guerre local. Comment les autorités et les populations de l’arrière rhodanien, mais aussi les prisonniers, ont-ils vécu une expérience de guerre marquée par un contact permanent avec l’ennemi ?

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