2020
Cairn
Thomas Welles Briggs, « L’incompréhensibilité didactique : « Les Parents pauvres » et l’esprit des lois modernes », L'Année balzacienne, ID : 10670/1.21zkqo
Ce troisième article d’une série sur l’incompréhensibilité présente une lecture des Parents pauvres à l’aide d’une loupe dont Balzac a longtemps rêvé, un Esprit des lois modernes. Cette loupe nous révèle une unité de pensée – artistique, littéraire, jurisprudentielle et même sexuelle – assez surprenante. Elle nous révèle aussi le but de Balzac en écrivant plusieurs pages incompréhensibles sur l’art et le droit, y compris la grande scène culminante du Cousin Pons. Bien sûr, Balzac n’a jamais fait un Esprit nouveau. Mais tout lecteur de La Comédie humaine ne pense-t-il pas qu’il tient entre ses mains quelque chose d’encore mieux et de plus beau – l’esprit de la pensée moderne ?