12 novembre 2017
florencepiron, « Missive à François Tatou, mon père (3) : Numérique et ubiquité », Espaces réflexifs, ID : 10670/1.28tpf6
Texte de Léonie Gisèle Tatou Metangmo, professeure de linguistique à l’Université de Ngaoundéré, Cameroun et invitée de Florence Piron. Les autres billets de la série : http://reflexivites.hypotheses.org/8616 et http://reflexivites.hypotheses.org/8588 *** L’esquif léger attend au port Allons rêver bien loin du bord Tous, nous nous rappelons avec contentement cet agréable refrain que tu fredonnais. En amoureux des Belles Lettres, tu goûtais visiblement les sonorités rares et poétiques de cet ...