« Un monde par essence esthétique ». L’art comme mémoire et identité dans L’Amour les yeux fermés de Michel Henry

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3 juillet 2017

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Jérémy Lambert, « « Un monde par essence esthétique ». L’art comme mémoire et identité dans L’Amour les yeux fermés de Michel Henry », Presses universitaires de Louvain, ID : 10670/1.2tgt8t


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On ne pense que par image.Si tu veux être philosophe, écris des romans.Albert Camus L’Amour les yeux fermés (publié en 1976) est le récit d’un antagonisme fondamental : celui de la vie (ou, pourrait-on dire, de la création) et de la mort. Plus exactement, Michel Henry, dans l’entretien qu’il accorde à Mireille Calle-Gruber en 1989, évoque son roman en ces termes : « la donne du livre, c’est que la vie est une force qui sera victorieuse aussi longtemps qu’elle croit en elle-même, et la premièr...

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