L’atelier du peintre dans la première page de The Picture of Dorian Gray d’Oscar Wilde (1891)

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2016

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Pascal Aquien, « L’atelier du peintre dans la première page de The Picture of Dorian Gray d’Oscar Wilde (1891) », Revue de littérature comparée, ID : 10670/1.3caqi7


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La première page de The Picture of Dorian Gray met en relation deux lieux, un atelier de peintre et un jardin, et, ce faisant, elle crée un jeu subtil de correspondances entre les deux. Cet article montre tout d’abord que la représentation de l’atelier dans le roman se conforme au topos pictural de l’atelier d’artiste, ce qui explique pourquoi l’on ne voit rien du portrait de Dorian Gray. Il montre ensuite que l’espace représenté est un lieu intériorisé, et non objectif, et qu’il se propose comme une métaphore de l’art et de l’écriture. Enfin, il souligne que ce que Wilde met en avant est le pouvoir de la lecture.

The first page of The Picture of Dorian Gray connects two places, a painter’s studio and a garden. In doing so, it weaves a subtle interplay of correspondences between both. This article intends to show first that Wilde’s description is in keeping with the nineteenth-century pictorial topos of the ‘artist’s studio’, which explains why nothing precise is said about Dorian’s portrait. Second, it contends that, far from being an objective representation, the studio serves as a metaphor for art and writing. It also claims that Wilde highlights one fundamental topic, the power of reading.

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