Fiche du document
13 mars 2010
- handle: 10670/1.3ny0nn
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/0317-5065
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1923-2713
https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/ , info:eu-repo/semantics/openAccess
Mots-clés
Gail philologie postérité Thucydide action politiqueSujets proches
Family history Family trees Genealogies French schools Youngsters Young persons Young people Youths Community involvement Participation, Citizen Political behavior Community action Citizen participation Political activity Community participation Participation, Political Participation, Community Involvement, Community Mass political behavior 19th century Literary critics Bow Island Academias de enseñanza Centros de enseñanza Centros educativos Escuelas Establecimientos de enseñanza Árboles genealógicos Linaje Participation à la vie politique Politique, Participation à la Comportement politique Politisation Participation à la politique Vie publique Attitudes politiques Action politique Jeunes gens Lycées français XIXe siècle 19e siècle Lecture en langue maternelle Lecture en langue seconde Établissements d'enseignement Établissements scolaires Descendants (généalogie) Recherches généalogiques Aïeux Descendance Ascendance Postérité Lignée Ancêtres Arbre généalogique Jeunes (personnes) Jeunes gens Lettrés Érudits chiffre La Harpe Île de l'Arc HalicarnasseCiter ce document
Olivier Battistini, « Jean-Baptiste Gail, une lecture de Thucydide au XIXe siècle », Cahiers des études anciennes, ID : 10670/1.3ny0nn
Métriques
Partage / Export
Résumé
Pour Jean-Baptiste Gail, « Thucydide n’est connu que par extraits, […] presque par lambeaux, dans les plus célèbres écoles d’Europe, et manque absolument aux écoles françaises. On cessera de s’en étonner, en réfléchissant sur l’extrême difficulté de mettre entre les mains des jeunes gens un ouvrage qui n’est que dans celles d’un petit nombre de savants en Europe ; un ouvrage, que les critiques anciens comme Denys d’Halicarnasse, que des modernes comme le père Rapin, La Harpe surtout, me sembl...