Le corps comme refuge, le refuge comme témoin. Une figure du corps dans l’œuvre d’Aharon Appelfeld

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2015

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Marco Araneda et al., « Le corps comme refuge, le refuge comme témoin. Une figure du corps dans l’œuvre d’Aharon Appelfeld », Champ psy, ID : 10670/1.47fpy6


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Cet article aborde l’une des figures du corps dans l’œuvre d’Aharon Appelfeld. À travers l’étude de quelques-uns de ses textes et des auteurs ayant travaillé la question du témoignage à la suite d’expériences-limite, il s’agira de décrire la fonction du corps chez Appelfeld. Corps propre, corps d’autrui, tous les deux lieux d’un témoignage en décalé de l’expérience traversée. Décalage dont les auteurs font l’hypothèse qu’il vient représenter les décalages paradoxaux qui ont permis de traverser l’expérience éprouvante.

This article addresses the specific figure of the body in the work of Aharon Appelfeld and examines a number of his texts and texts by authors who have also worked on the question of individual accounts of borderline experiences as a means of analysing the importance of the body in Appelfeld’s work. One’s own body and the body of others both lie at the source of accounts formulated in the aftermath of certain lived experiences. The authors argue that the time shift thereby introduced represents the paradoxical shifts which initially enabled the individual to live through the terrifying experience to which they bear witness.

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