12 juin 2019
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Ghislaine Jay-Robert, « Aristophane et Longin ou le sublime en question », Cahiers des études anciennes, ID : 10670/1.4928oo
Dans notre réflexion sur le sublime et la sublimation, j’aimerais, pour ma part, m’arrêter sur le traité anonyme intitulé Peri hupsous. Sans doute composé dans la première moitié du Ier siècle de notre ère, c’est un ouvrage de critique littéraire qui se présente comme une lettre adressée à un ami, où l’auteur, que par commodité nous nommerons Longin, tente de définir les qualités qu’il attend du style d’un écrivain. Contre l’avis d’un certain Caecilius, critique influent de l’époque d’Auguste...