8 mai 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
C’est sur cette impression que prend fin la première partie de ce travail, à l’apogée du Califat, et à la veille de son déclin. La chronique s’interrompt en 975. Al-Hakam meurt l’année suivante et son fils Hishām ne régnera jamais vraiment. Après quelques années d’incertitude, le pouvoir passe à Ibn Abī ‘Amir, puis à ses fils jusqu’à la fitna finale. Certes la dictature amiride ne prétend pas porter atteinte au Califat. Le cas n’était pas unique : en Orient les Abbassides avaient accepté la t...