Paludes d'André Gide entre schopenhauerisme et nietzschéisme

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9 septembre 2019

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Solène Lépinay, « Paludes d'André Gide entre schopenhauerisme et nietzschéisme », DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance, ID : 10670/1.54i3um


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Paludes d'André Gide, « sotie » parue en 1895, laisse les lecteurs d’hier et d’aujourd’hui dans l’embarras de comprendre son sens. Nous suggérons d’interpréter cette œuvre en voyant en celle-ci la synthèse de deux philosophies qui ont influencé la littérature fin-de-siècle : d’un côté, la pensée d’Arthur Schopenhauer, qui valorise l’attitude contemplative par laquelle on se soustrait du mouvement incessant et insensé du vouloir-vivre, de l’autre, la philosophie optimiste de Friedrich Nietzsche qui triomphe de l’absurdité par l’affirmation joyeuse et féroce de la vie, sans chercher de transcendance. Ce serait donc parce que les images de Paludes peuvent être interprétées aussi bien du point de vue schopenhauerien que nietzschéen qu’il est impossible de tirer des conclusions univoques de ce récit.

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