Léon de Seilhac, de sa Corrèze natale à l’économie sociale : une trajectoire leplaysienne ?

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2017

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Antoine Savoye, « Léon de Seilhac, de sa Corrèze natale à l’économie sociale : une trajectoire leplaysienne ? », Cahiers Jaurès, ID : 10670/1.6t2e1f


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On peut distinguer sommairement trois périodes dans la vie de Léon de Seilhac : la plus marquante, celle qui a fait sa notoriété, dure une vingtaine d’années. Elle va de 1897 à 1917 et correspond à ses fonctions au Musée social de délégué permanent, chargé du service industriel et ouvrier. La première période est la plus mystérieuse. Elle correspond à sa formation et à son entrée dans la vie active. Comment s’est-il préparé à devenir l’« historiographe des grèves » ? Quelles conditions ont présidé à cette préparation ? Nous avons assemblé quelques pièces du puzzle pour esquisser un portrait qui reste à affiner. Nous essaierons en outre de nous demander si Seilhac est représentant de la science sociale issue de Le Play ? Nous verrons que, s’il peut être qualifié de leplaysien, cela tient autant à ses contributions à une économie sociale pratique qu’à ses enquêtes sur le vif et ses apports à une science sociale empirique.

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